C’est avec un frisson de bonheur que je fut réveillée ce matin la ! Oui, car, alors que je m’étais couchée assez tôt, (pour une fois !) ce fut la chaleur d’un doux rayon de soleil qui me tira lentement de mon sommeille réparateur ! Émergeant peu à peu, et clignant doucement mes grand yeux vert afin de m’habituer à cette lumière, j’affichée un sourire béa. Et oui, c’étais l’heure de travailler.

Alors, que j’étirer mes muscles encore endormis, je fixer le tas de gibier. Hum… pas très très remplis tout sa ! Alors, voyant qu’il y avait suffisamment de mon dans le clan, je m’apprêter à aller accomplir la chasse : seul.
En traversant le clan, je chercher des yeux Fourrure de Grêle… mais je ne le trouvais pas. Cela faisais bien longtemps que nous n’avions pas passé du temps ensemble… et cela me manquer énormément. Lui et moi, étions des sang-mêler, et personne d’autre ne pouvais comprendre notre douleurs aussi bien l’un que l’autre ! Enfin, nous avions mainte fois prouvé notre valeur au sein de notre clan. La tête haute, je franchissais l’entrée du camp, et une bourrasque de vent vint se frotter à mon pelage beige. Vent rassurent pour moi, qui suis une chatte du clan du vent. Le camp était bien plus abriter que la lande, ou bien de chats avait du mal a y vivre. Me mettant en position de chasse, je me diriger vers le grand rocher, ou de nombreux lapins venais souvent se réfugier du fort mistral.
Vent en face de moi, je sentis l’odeur d’une proie qui vint me titiller les narines ! MULOT ! Les yeux en amandes, j’avancer vers ma proie…mais une odeur de chat inconnu vint m’arrêter !
Choquée, je vis les yeux écarquiller, un chat qui n’était pas de mon clan dévorant une proie sur notre territoire ! Il n’avait l’odeur d’aucuns clans ! et je cracher doucement avec mépris
* chat errant *
Mais, alors que je fixer avec haine l’inconnu, je ne m’aperçus pas que le vent vint à changer de sens ! Zut… trop tard. Le mal repéra mon odeur et se mis en position de défense. Je sortais des herbes hautes ou j’étais cachée, et vint crocs et griffes sortis, me placer face à lui. L’échine hérissée, et prête à bondir, je lançais d’un voie méprisante :

« Qu’est ce que tu viens faire sur le territoire du clan du Vent ! NE sais tu pas que ce gibier que tu viens de prendre NOUS appartiens ?! »

Je ne sais pas pourquoi, mais j’attendais une réponse de l’intrus… la queue claquant dans le vent !