Ce matin, alors que le soleil n'était pas enccore levé, un chat marchait tranquillement dans la lande. Ce chat blanc était, vous l'aurez compris, Renard Polaire. Le matou voulait voir un nouvel horizon et les jours passés dans le clan l'avait rendu un peu lunatique. Il avait donc décidé, sur un coup de tête, de sortir se promener sur le territoir, cherchant de quoi egayer sa journée. Bien entendu, rien ne vint sous sa patte et, attristé par cela, monta dans un arbre pour réfléchir.

Un rayon de soleil vint réchauffer son pelage blanc et Renard Polaire regarda le ciel. Le soleil venait de se lever et il commençait à se faire tard, ou tôt vu la situation. Le matou regarda autour de lui, cherchant de quoi ramener au clan pour ne pas avoir l'air d'un égoiste ou, pire, d'un bon à rien. Le mâle blanc descendit et renfila l'air alontour. Une odeur de rongeur lui parvint et Renard Polaire se mit en position de chasse. Il était encore un peu maladroit sur ses pattes, mais le matou blanc, écoutant que son instin, approcha de sa futur proie. Il approchait, plus que dix longeurs de queue et il pourrait voir la bestiole! Une souris lui tournait le dos et Renard Polaire, trop exité à l'idée d'attraper une proie, lui fonça dessus comme un malade. Comme vous vous en doutez, la souris prit peur et s'enfuit, un chat dix fois, voir vingt fois, plus qu'elle sur les talons. L'exitation de la chasse montra d'un cran pour Renard Polaire et il accelera sa course. Malheureusement pour le matou, la souris passa sous un autre chat et s'enfuit. Bien evidement le chat essaya de la suivre, mais se prit l'autre matou en pleine frimousse et il réussi à tomber dessus. Ce fut la derrière fois que Renard Polaire ne regarda pas devant lui. Bref, le matou frissonna en sentant les poiles de l'autre matou lui chatouiller le ventre et il s'herissa automatiquement. Le matou se retira de dessus l'autre et, essayant de voir son visage pour s'exuser, posa son museau contre celui de Matin Brumeux, car c'était lui la victime du chat blanc. Renard Polaire, comprenant son erreur se recula, effrayer.

- Exuse-moi, Matin Brumeux, je ne t'avais pas vu!