Une jeune fille courrait entre les arbres, zigzaguant avec habilité entre les troncs. Elle courait, ses cheveux couleur argent flottaient derrière elle. Elle courrait, et rien ne semblait pouvoir l'arrêter. Pourtant, elle semblait n'y prendre aucun plaisir, ses lèvres, sèches, étaient fixées en une mince ligne dure. Une paire d'ailes blanches, parfois bleues, se dressait dans son dos, immobiles, si bien qu'elles semblaient sans vie. Elle continua sa course, même lorsqu'un gros rocher se présenta devant elle. Alors qu'elle allait se le prendre en plein fouet, arrivée à son pied, elle sauta dessus pour se réceptionner en fléchissant les jambes, s'accroupissant dans le feu de l'action. Elle posa une main à terre avant de se relever. Là, elle s'arrêta. Se retourna.
"Qu'ai-je donc fait, humain, pour que tu me traque comme un fauve le fait de sa proie ?"
Un homme d'une quarantaine d'années sortit des buissons, visiblement essoufflé, armé jusqu'aux dents.
"Tu n'as tout simplement pas le droit de vivre, Archeopse...
- La vie est donc un pêché, pour qu'on me pourchasse ainsi comme une criminelle ?
- Tu manipules quelque chose que personne n'ale droit d'influencer ou de manipuler.
- La jalousie est un bien vilain défaut humain."
La jeune Archépose sauta vers l'homme, dégainant dans la foulée un sabre qui, jusqu'a présent, était rester dans son fourreau, lui-même attaché à la ceinture de l'Archeopse. Elle dirigea habilement sa lame avant de la baisser, laissant ainsi apparaître une ligne de feu sur le buste de l'humain.
"Dernier avertissement, humain."
Celui-ci fit mine de réfléchir et passa son bras derrière son dos, tirant une dague cachée jusqu'a présent. Il voulait sa prime, prime pour avoir tuer quelqu'un dont les gouvernements ne voulaient pas ! Encore un être avide d'argent. Combien y en a-t-il ? Trop pour les compter. Son geste furtif n'échappa pas à l'oeil nocturne de la jeune fille ailée, qui, de nouveau, mania habilement sa lame de façon à trancher en deux cet être immonde.
"Je ne connais pas la pitié face aux êtres avides de sang comme toi, humain. Désolé. Adieu." Elle avait parler d'une voix froide et posée, d"un ton calme ne laissant paraître aucunes émotions.
Elle sauta de nouveau sur le rocher, se fondit dans la nuit et disparut comme un mirage éphémère.
"La Liberté, n'est-ce donc qu'une douce utopie qui me fait encore avancer ?"
PS : Pas de plagiat SVP
J'ai besoin de vos aviiiis !! *va se pendre*
Je ferais peut-être une fanfic' à partir de ça pour les intérressés ^^[/center]