xD
Franchement, mdr moi je dis.
L'idée de la baston et des Dursley cioyens modèles est géniale !

[PS : Merci Nuage de Lierre ^^]

xD Super, Groseille, cette parodie d'Harry Potter ! C'est trop marrant ! Continue !

[Mici Cielou ]


"-Je t'ai acheté une mouette, expliqua Dirgah, chez nous-autres sorciers, les goélands et les pélicans apportent les lettres. Mais je n'allai pas dépenser 30 Canons (Gallions) pour toi alors j'ai acheté une mouette d'occasion..."
Pendant que le gros bonhomme tentait d'étrangler l'oiseau qui n'arrêtait pas de ricaner, Harry se dirigea vers la boutique de Mme. Coulétrou (me rappelle plus du nom de l'originale ^^') pour se faire faire une robe de sorcier sur-mesure. En sortant, il se rappella soudain de quelquechose :
"-Dirgah, une seconde ! Comment allons-nous payer la facture de tout ça ? J'ai gaspillé mon argent de poche pour acheter des bonbons !
-On va aller à Grignote, c'est la banque des sorciers. Tes parents, n'ayantpas la capacité intellectuelle requise pour gérer un compte en banque ont été dépouillés des 100000000000000000000000000000 Canons qu'ils ont gagné au loto. Maintenant, tu peux recevoir cette fortune."
Les deux marchèrent vers un bâtiment de 0 étages et 100 sous-sols peint en rose à pois verts. Des géraniums poussaient sur les balcons (comment ? je sais pas moi, je suis là pour raconter, pas pour expliquer è_é). Ils y entrèrent et furent chaleureusement accueillis par de féeriques créatures.
"-Ce sont des Gobe-lin, ils sont très beau et gentils mais ils n'ont rien dans la caboche."expliqua Dirgah
Un Gobe-lin les mena justement vers une porte ayant un système d'ouverture ultra-moderne qui ne laissa passer que les créatures de banques de plus de 100 ans de service (sachant qu'un Gobe-lin vit 5000000000000, 1 ans en moyenne). Le guide des sorciers ouvrit justement une porte. Quand elle fut béante, Harry aperçu enfin la fortune qui lui appartenait déormait. Il se jeta dans la cave pour nager dans les pièces comme Picsou mais un système anti-voleurs l'électrifia et il changea de coiffure pour quelques heures. L'elfe entra lui-même dans la pièce et remplit de cet or une besace en peau de croco qu'il donna au garçon à lunettes.
Dirgah et le lèche-botte qui le suivait rentrèrent en fin de journée à l'auberge. Demain, un grand voyage attendait Harry : il se rendrait pour la première fois de sa vie à Bulbard, via le Bulbard Expresso.

Ce qui vit Harry en émergeant du mur l'émerveilla : un tout petit train à vapeur sans toit, comme celui du train de la mine de Disneyland. Il quitta la femme et ses nombreux enfants pour entrer dans un wagonnet.
Il n'y passa pas cinq minutes qu'un rouquin s'assit en face de lui. Il reconnut facilement Ronald Rosier, le plus jeune fils de la dame qui l'avait guidé. Il se présenta justement :

-Tu te rappelles de moi ? Ronald ! Tu peux aussi m'appeller Ron.
-Et moi c'est Harry. Tu peux m'appeller Harry.

En cherchant un peu dans sa mémoire, le garçon roux eût un tilt. Il demanda :

-Harry ? Tu veux dire Harry Podfleur ?
-Ben... ouais... pourquoi ?
-Starstky Podfleur ? Le gosse qui s'est fait maltraiter par ses parents ?!
-... ben ... oui ...
-Classe !!!
-Tu sais que tu as une verrue au palais ?
-Oui, et j'en suis fier !

Le binoclard ne tarda pas à remarquer le rat en vareuse qui grignotait un des bonbons qu'il venait d'acheter. Il prit un des livres de dix kilos qui trainaient dans son sac dans l'espoir d'écraser le rongeur avec. Seulement, le bouquin était tellement lourd qu'il lui retomba sur le pied, alors qu'il venait d'enlever ses chaussures (c'est certainement la raison pour laquelle le wagon sentait le Pont-l'Evèque). Il hurla de toutes ses forces, ce qui réveilla les autres sorciers dans les compartiments alentours.

-Ca t'apprendra à vouloir faire du mal à Motard ! C'est un gentil mat (rat + marin), il n'a fait de mal à personne ! se défendit Ronald

Harry voulut protester et envoyer un gros juron à son voisin de banc mais en fut incapable car quelque chose de mouillé et qui sentait l'eau de mer arriva dans sa bouche. Exactement à ce moment là, une jeune fille brune se retourna (elle était devant Ron et Harry).

-Hé ! Fous n'afez pas fu Trefor ? C'est un poisson rouche et chaune à petits pois (Dorothée powaaa ! *enclume*)
-Nan, on l'a pas vu, alors fous-nous la paix l'Allemandaise, cria Rosier

Mais avant que l'Allemande n'ait put se retourner, Harry, qui avait fini de s'étouffer, cracha un poisson qui correspondait à la description donnée par la magicienne. Elle réussi à le reprendre à l'aide de sa baguette et le rendit à un garçon au visage rond, nommé Neville Courtduhaut.
Quand cette affaire fut réglée, Ronald s'exclama :

-Dis-donc, tu aurais put faire attention ! Tu te prends pour une mouette maintenant ?!

Se sentant insultée, la mouette de Harry (qu'il avait nommé Hedwige car l'oiseau ressemble à sa tata Mauricette-Hedwige) poussa un "COUAC". Cela attira l'attention de Ron, qui ne l'avait pas remarquée, étant donné qu'elle s'était cachée dans une boîte de Coco Grenouilles.

-Tiens, tu as une mouette ? Je ne le savais pas !
-Et bien maintenant tu le sais... D'ailleurs, j'ai remarqué, on a tout en commun : tu es roux, j'ai les cheveux noirs, tu as un rat, j'ai une mouette. Devenons amis !

Harry s'était fait un bouche-trou.

[justify]Il se passa une heure avant que le train ne s'arrête en faisant un "tfiou" style camion de "C'est pas sorcier". Les enfants descendirent. Ils était arrivés dans un mignon village nommé Pet-au-Lard. Mais ils ne s'y attardèrent pas. Les plus grand montèrent dans des pousses-pousses chinois tandis que la voix de Dirgah résonna :

-Par ici les premières années !

Ronald et Harry se dirigèrent vers l'homme obèse. Il annonça qu'ils devraient traverser une mare pour se rendre au château, comme le voulait la tradition. Le binoclard protesta :

-Mais ! Bulbard est de l'autre côté ! Et je ne sais pas nager !
-Podfleur ! Il y a des bateaux pour traverser !
-Ah ? Les bateaux existent ? Je croyais que ce n'était qu'une légende !

Le rouquin et le garde-chasse se frappèrent le front en constatant la bêtise du jeune sorcier. Ils montèrent dans des bouées-canards et pataugèrent jusqu'au collège. Ron ronchonna :

-Si ça c'est des bateaux... qu'est-ce qu'il appelle une bouée ?

Même si la nage dans un étang plein de crapeaux et de vase n'avait pas été agréable, tous arrièvèrent sain et saufs (à part une grenouille que Harry avait mangé) de l'autre côté. Les apprentis-mages déposèrent leurs animaux de compagnie dans le hall avant de suivre une dame assez enveloppée aux cheveux blonds, en brosse, qui rapellaient de frites. Elle s'arrêta devant une porte d'au moins cinq mètres de haut et dit :

-Mes chers enfants : vous êtes ici, à Bulbard, afin de commencer votre scolarité de sorcier. Vous allez avant tout entrer dans la Grande Sale et être répartis dans vos maisons : des classes dans lesquelles vous resterez pendant vos sept années ici. Elles seront pour vous comme une deuxième famille. A savoir : les nunuches iront à Savon d'Or, les durs à cuire à Serpent-en-Retard, les intellos à Patte d'Aigle et les abrutis à Pouf-qui-Souffle.

Elle poussa les deux battants de la grande porte avec une étrange facilité de la part d'une grosse. Peut être aussi parce que l'entrée était faite de papier-mâché. Elle entra dans une pièce pleine de poussière, suivie par les premières années. À l'interieur, les 2e, 3e, 4e, 5e, 6e et 7e années se régalaient d'un énorme festin. Certains avaient tourné la tête et regardaient avec curiosité les nouveaux venus.

-Les premières années ? Je vais vous appeler par ordre alphabétique et je placerai le Crapeaux magique sur votre tête. Il vous répartira alors dans votre maison respective.

Elle appella une jeune fille, lui plaça le Crapeaux (libre à vous d'imaginer à quoi il ressemble) sur les cheveux. L'objet magique ouvrit la bouche (quelle bouche ?) et annonça :

-Patte d'Aile d'Aigle !

La magicienne partit donc s'assoir à une table azurée, celle des Patte d'Aigle.
D'autres élèves furent appelés. Harry, Ronald bien d'autres élèves partirent à Savon d'Or. Ils soupèrent avec leurs aînés et suivirent le préfet-en-chef de la classe, qui était également le grand frère du rouqin : Persil Rosier.

IX
La Salle Commune des Savon d'Or

Les jeunes sorciers passèrent les célèbres escaliers de Bulbard, où on avait neuf chances sur dix de se ramasser étant donné que les marches étaient espacées de un mètre et demi et faisaient soixante centimètres de haut.
Finalement, tout le monde arriva indemne devant l'entrée de la Salle Commune, qui était gardée par un tableau représentant... La Castafiore ! Oui, oui, Bianca Castafiore, de Tintin. Elle chanta :

-Le mooooot de paaasse ?
-La Castafiore est intelligente...

Le "rossignol milanais" gloussa et son portait pivota, laissant apparaître un trou dans lemur. Les enfants y entrèrent et découvrirent la Salle Commune des Savon d'Or. Lesmurs étaient entièrements peints en rose, avec des paillettes dorées, des petites licorne et une fresque où apparaissait le célèbre reporter belge. J'ai bien sûr cité : Tintin ! Persil expliqua :

-Notre ancêtre, Gorille Savon d'Or, était un maniaque du ménage, et une fille manquée avec ça !

Les magiciens s'installèrent dès que leur préfet eût fini de raconter sa vie. D'autre étaient déjà partis dormir. Harry et Ronald étaient dans la même chambre (Oh ! Mais vraiment... quel hasard !). Ils s'endormirent vite pour leur première nuit à Bulbard.

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Le lendemain, tout le monde était très fatigué. La raison ? Hedwige avait hurlé pendant toute la nuit; du coup, tout le monde voulait tabasser Harry. Mais ils n'ent firent rien : ils ne devaient pas être en retard pour leur premier cours à Bulbard avec le professeur Mac. Donald.
Le binoclard prit tellement de temps à trier ses chausettes qu'ils prirent une heure de retard. Quand ils arrivèrent sur les lieux du crime de la scéance de métamorphose. Visiblement, la prof n'était pas encore là. Surle bureau, il n'y avait qu'un vieux chat tigré. Podfleur se moqua donc de son mentor, ce qui lui valut une bonne raclée de celui-ci, qui n'était autre que le chat. Elle se transforma pour leur donner une punition. La journée commençait bien...

Le cours suivant était potions, avec Roquette. Cette fois-ci, personne ne fut en retard, de peur qu'il ne s'agisse d'un maître exctrêmement sévère. Justement, il colla une retenue à tout le monde pour avoir eu une seconde d'avance, ce qui était pour lui le comble de la ponctualité. Seul Harry y échappa car ce professeur avait l'air de l'apprécier. Par contre, il n'échappa pas aux cent mille lignes qu'il lui assigna pour avoir envoyé des messages d'insultes à un certain Dragon Mafeuille, de Serpent-en-Retard.

[justify]Le prochain cours était un cours de vol... sur un bali ! Les élèves foncèrent sur le stade, impatients de commencer leur cours avec Mme Binette. Le professeur arriva, et salua les enfants :

-Bonjour à tous ! Pour commencer, dites "debout" à votre balai, et il arrivera dans votre main !

Les jeunes sorciers s'exécutèrent. Celui de Harry lui obéit illico : il devait être le petit-fils d'une serpillère. Celui de Ronald s'enfuit au galop après lui avoir donné un coup dans le nez. Quand à hermione, elle ne parvint pas à se faire obéire, étant donné qu'elle donna l'ordre en Allemand à un balai Anglais. Une fois que tous les collègiens eurent leur balai en main, la femme affirma :

-Maintenant que vous êtes prêts, enfourchez votre balai et mettez lui une baffe pour qu'il s'envole. Etranglez-le pour qu'il redescende.

Les claques volèrent, mais pas les balais, qui n'étaient pas bien dressés. Seul Neville Courtduhaut obtint un résultat. Mais la balayette s'emballa et le garçon fit une chute de trente centimètre. Il se cassa alors une jambe, se fracassa le crâne et son bras gauche fut déboité. L'adulte l'enmena à l'infirmerie en jurant que "si elle voyait un seul élève en vol, il aurait bobo !". Quand elle eut le dos tourné, Dragon Mafeuille lança :

-Hé ! Courtduhaut a perdu ça ! Ca a dut tomber de sa poche !

Il désigna alors une balle rouge et blanche de environ dix centimètres de diamètres. Harry, cupide comme pas possible, hurla :

-Nan ! C'est à moi !
-Dans tes rêves Podfleur !

Le blondinet sauta sur son balai et s'envola très haut, à peu près à la hauteur du donjon de l'école avant de se rendre compte que la pokéball () était restée en bas. Il descendit alors en piquet pour s'en approprier. Malheureusement, Mme Binette, qui arrivait tout juste, l'arrêta.

-Messieurs Podfleur et Mafeuille, vous êtes virés !!!

Les deux rivaux firent alors leurs yeux de chien battu devant l'institutrice, qui les trouva "trop mimi" (drôles de goûts !) et qui dit alors :

-Ok... vous n'êtes pas virés... Par contre, Podfleur... je vous engage dans l'équipe de Quiche-quiche !

-Qu'est-ce-que le Quiche-Quiche ? demanda Harry à Ronald
-C'est un jeu typiquement sorcier, voici le règles :
_Il se joue en deux équipes de 7
_On s'envole avant le coup de sifflet
_Au signal, on descend en piquet vers le sol, pour cueillir des fleurs
_Le match est fini quand un jour a déraciné l'If d'or, qui vaut 150 points
_Celui qui a le moins de fleurs à la fin du match est tué et mangé sous forme de quiche au repas suivant
-Miam ! J'espère qu'il y aura beaucoup de perdants !..

Arrachant le garçon à lunettes de ses pensées, le rouquin s'écria:

-Allez, grouille-toi le cannibale, on va être en retard au cours de Soutien pour les forces du bien !

Dans ce cours, le professeur, nommé M.Quenelle, disait en moyenne cent fois "peace and love" en trois phrases, ce qui émerveillait les élèves.
Maintenant, les enfants rejoignaient leur salle commune. Harry se ramassa magistralement dans les escaliers. Ron appella Hermione Gretel, avec qui il était devenu ami, de l'aider à porter le binoclard à l'infirmerie. Il annonça :

-Ne t'inquiète pas, je connais l'école comme ma poche !

Rosier devait pouvoir se perdre dans sa propre poche car ils arrivèrent dans un lieu inconnu. L'Allemande expliqua qu'ils étaient dans la "salle interdite", et que s'ils étaient pris ici, ils seraient renvoyés. C'est bien sûr à ce moment là que Rencart, le concierge décida de faire sa ronde. Il entendit un bruit de pas quand les compères se cachèrent derrière un pilier. Il demanda :

-Qui est là ?
-Miaouu !
-Le Christ !
-Le Pape ! répondirent en choeur les trois amis
-Ah ? Ravi de vous avoir rencontré !

Et il s'en alla. Les enfants sortirent de leur cachette. Monsieur-je-me-paume-dans-ma-poche ouvrit alors une porte en affirmant qu'elle menait à sa chambre, ce qui n'était évidement pas la cas. En ouvrant, lui et ses camarades découvrirent un horrible spectable... une coccinelle à trois pois qui dévorait........

Des pucerons !..

Après avoir échappé à ce monstrueux monstre, en refermant la porte, ils se dirigèrent vers la villa de Dirgah, qui leur avait donné rendez-vous. En chemin, Harry demanda ce que ce pédalo à moteur fichit dans cette salle (vous le savez déjà, il doit changer de lunettes). Quand les compères furent devant l'entrée, ils frappèrent. Le garde-chasse les accueillit.

-Entrez les enfants ! Venez voir ce que j'ai acheté : c'est génial !

Ronald regarda par dessus l'épaule de l'obèse et aperçut un dragon, couché près de la cheminée. Il s'exclama :

-Mais Dirgah, un Norvégien à Crète n'a rien de spécial (à part le fait que d'en avoir acquis un fait de toi un hors-la-loi)...
-Observes mieux ! Il couve ! Attends et observe le résultat.

Quelques minutes plus tard, l'oeuf se fissura et un animal hideux en sortit.

-Quelle horreur ! s'exclamèrent le rouquin et Hermione
-Quelle beauté ! Quelle belle moto ! répondit Harry
-Harry... Ce n'est pas une moto mais un... un quoi d'ailleurs ?
-C'est un Crétin à Crète ! Pour en obtenir un, il faut croiser une limace et un canard et le faire couver par un Norvégien à Crète. Il ressemble à un dragon mais il ne crache que des postillons.
-Je peux l'essayer ? demanda l'idiot
-Chanche te lunéttes !
-Non !
-Si !
-Non
(trois heures plus tard)
-Non !
-Si !
-Harry ! Hermione ! Arrêtez de vous chamailler ! D'ailleurs, vous devriez aller vous coucher.

Impressioné, le trio lui obéit.

Et en plus c'est avec If Noir que tu me dis ça XD
T'inquiète, je savais, mais on va dire que c'est un bonsai.

La fête d'Allô Ween battait son plein. Ce jour là, les gens devaient se déguiser en leur phobie. Ronald choisit d'apparaître sous les traits d'une horrible tarentule, Hermione arriva en contrôle qui avait reçu une note de 0/20 et Harry en coccinelle. Albus Polypores prit un costume de trait (oui, il a peur des traits) et Pallas Mac. Donald en légume. Lors du banquet, les élèves et les professeurs se goinfraient tranquillement mais furent dérangés par un claquement de porte. M. Quenelle apparut et hurla :

-Un Mol ! Un Mol dans les cachots !

Et il tomba dans les .

-Ron, qu'est-ce qu'un Mol ? demanda le binoclard
-Une créature naine très affectueuse.
-Alors allons le foir ! s'écria Gretel

Ils se dirigèrent vers les cachots (parce que, OUI, ils sont libres d'accès), firent un câlin à la créature et partirent se coucher.
Dans la nuit, Rosier se leva pour aller aux toilettes mais trébucha sur la table de chevet de Harry. Il ramassa les affaires qui étaient tombées et constata alors que les lunettes de celui-ci n'avaient pas de verres mais des vers. Il se ravisa : il avait rêvé (seulement pour les vers). Il ne songea pas à réveiller l'idiot car le lendemain, il devait être en forme pour son premier match de Quiche-Quiche.

Le matin, Harry enfila sa robe de sorcier (à l'envers évidemment) et partit en direction du terrain. Il avait déjà eu quelques entraînements et avait retenu les noms de Acacia Spanet, Freddie et Jojo Rosier, les frères jumeaux de Ron et celui de son capitaine : Olivier (et Tom) Dubâton. Les autres joueurs et eux s'assirent sur leurs balais, s'envolèrent. Harry démarra en retard. Peut être parce qu'il n'avait pas l'habitude de son Hoover 2000, un aspirateur volant très à la mode. Au coup de sifflet, les Quiche-Quicheurs descendirent en piquet. Le jeune Lys Jordan, de Savon d'Or commentait le match. Le lunetteux ne prit pas la peine d'écouter ses dires et fonça vers le sol. Il commença par cueillir quelques fleurs mais aperçut l'If d'Or (c'est pas dur il brille !). Il voulut aller le chercher mais se rendit compte qu'il avait le vertige et il se mit à vomir. C'est donc un Serpent-en-Retard nommé Azerty Uiop (vive l'inspiration) qui l'attrappa à sa place.
Mme Binette siffla la fin de la partie.. Tous les joueurs étaient montés contre Harry. Il se défendit :

-Mais ce n'est qu'un jeu !

Harry, à part un pissenlit et deux pâquerettes, n'avait rien cueillit. C'était donc lui le perdant. Seulement, son truc des "yeux qui font pitié" fonctionna de nouveau sur l'arbitre qui décida donc de choisir le sacrifié parmi l'équipe adverse. Comme tous les sorciers en tunique vertes avaient un bouquet du même volume, il fut décidé qu'ils seraient tous tués sauf Azerty.

-Ce fut bon ! s'écria Harry à la fin du repas, pourquoi vous n'avez pas mangé ?
-Harry... Il y a des limites à la gourmandise...
-Mais ch'est bon ! dit-il la bouche pleine de morceaux qu'il avait sorti de la cantine
-Laisse tomber Hannibal le Cannibale...

J'aime toujours autant ♥ x DD

[C'est sympa de voir qu'il y a des gens qui aiment x)]


Une soir, une idée commença à tourmenter l'esprit de Hermione. Elle alla donc réveiller ses amis :

-Les kars (gars) ! Fous ne fous fous temantez pas ce que cette coquecinelle fésé terrière cette porte ?
-C'était pas un pédalo ? demanda Harry

L'allemande se frappa le front avec la main pour montrer qu'elle le trouvait idiot et continua :

-Si fous afiez rekardé ses pattes, fous auriez fu qu'elle était sur une trappe.
-Ses pattes ?! s'exclama Ronald, ses pattes ?! Moi, j'étais plutôt occupé à regarder ses pois. Au cas ou tu ne l'aurais pas remarqué, elle en avait trois !!!

Pendant ce temps, le cancre avait sortit un MP3 et écoutait une chanson. Hermione, s'en apercevant, lui mit une baffe dont il se souviendrait longtemps. Celui-ci, l'air déboussolé (comme d'habitude), remit la monture de ses lunettes sur son nez.

-Au fait Harry, demanda le rouquin, tu ne m'as pas dit comment tu avait eu ton aspirateur. Ton Optic 2000 ou je ne sais quoi...
-Quelqu'un me l'a envoya (il continuait de danser), par courrier...

Il fallut dix bonnes minutes au rouquin et à Gretel pour réaliser que la réponse de leur camarade n'était autre que les paroles de la chanson qu'il écoutait à ce moment même. Eccedé, Rosier lui arracha les écouteurs des oreilles. Harry pleura :

-Ouin ! J'vais l'dire à mon tonton !

Pour l'endormir, Ronald lui chanta une berceuse et partit lui-même se coucher.

Oulala c'est zarbie xD
Mais pourquoi Hermione est allemande en fait ? O.O

Le lendemain, alors que Harry, Hermione et Ronald avaient fini les cours et s'appretaient à rejoindre la Salle Commune, Mac Donald les interpela :

-Monsieur Mafeuille, ici présent, m'a rapporté qu'il y a une quinzaine de jours, vous étiez partis voir Dirgah pendant la nuit ! Est-ce vrai ?
-Non ! se défendirent le rouquin et la fille
-Oui ! s'écria le lunetteux

Ce dernier fixa son professeur avec un air crétin : les dents en avant et les yeux qui louchent.

-Vous serez punis ! Tous les quatre ! scanda l'adulte
-Pardon Madame... demanda Dragon, j'ai cru entendre : tous les 4.
-Vous avez mal entendu ! J'ai dit tous les 4 et pas tous les quatre, c'est plus poli !
-Tout les quatre... ronchonna le blondinet
-Vous avez bien entendu ! Si vous saviez qu'ils se promenaient la nuit, vous étiez également debout après le couvre-feu ! Rencard vous mènera chez Dirgah et vous exposera votre punition.

La femme appella le concierge pour qu'il escorte les enfants jusqu'à la villa. En chemin, celui-ci soupirait :

-Dommage que les châtiments corporels soient interdits maintenant. Quels bon moments je passais à voir agoniser les mauvais élèves, pendus par les poignets jusqu'à que mort s'en suive !
-On les mangeait après leur mort ? le questionna Harry

Les jeunes sorciers et Rencrad se frappèrent le front. Très vite, ils arrivèrent chez Dirgah.

-Salut les enfants ! Vous allez m'aider à retrouver une licorne blessée dans la Forêt Interdite... Et Harry, s'empressa-t-il d'ajouter, si tu la retrouve, ne la mange pas !
-Gna, gna, gna...

Ils entrèrent dans la forêt. Après quelques pas, ils découvrirent une flaque remplie d'un liquide argenté, qui évoquait du shampooing. L'obèse n'eût qu'à le toucher pour déduire :

-C'est du sang de licorne ! Elle ne doit plus être loin.

Le garçon à la cicatrice (parce que oui, il en a une depuis le début) demanda la permission d'y goûter mais Dirgah le menaça de le livrer aux loups-garou s'il le faisait. Le garde-chasse regarda dans tous les sens et, ne voyant pas de traces de pas, annonça :

-On va se séparer. Harry, tu vas à droite. Dragon, vérifie qu'il ne fasse pas de bêtises. Je vous laisse mon chien, Croquette. Ronald, Hermione, venez avec moi.

Les deux groupes se formèrent et partirent dans des directions opposées. Au bout de quelques minutes de marches, Dragon, qui en avait assez de la stupidité de son rival, prit congé de lui et enmena le chien avec lui. Le binoclard se retrouva donc tout seul. Malgré tout, il réussi à trouver... la licorne ! Seulement, celle-ci était en train de se faire soigner par un mysterieux homme. Il ne pourrait donc pas la manger ! Sauf s'il chassait l'intrus. Il avisa un poney bleu avec un arc-en-ciel tatoué sur le c*l la croupe. Il cria :

-Hé ! Toi ! Un mec louche agresse une licorne !

Sans réfléchir, l'équidé fonça. Il mit en fuite le véto avant de se rendre compte que celui-ci voulait du bien à la jument à corne et que c'était Harry qui faisait n'importe quoi. Il charga donc le magicien jusqu'à qu'il croise les autres humains. Là, Dirgah demanda au poney, qui était un de ses amis, de s'arrêter, ce qu'il fit. En apprenant que la licorne était un peu plus loin, le garde-chasse quitta les enfants et partit soigner la créature. Mafeuille le suivit. Le cheval azuré profita de l'absence de l'adulte pour dire au trio :

-Je lis dans les pensées (oh ! mais quel hasard !). Je sais donc que vous avez pénétré dans la salle où se trouve la coccinelle. Je vais aussi vous dire ce qu'il y a sous la trappe. C'est à objet créé par Nicolas Caramel et qui...
-Cet obchet rend-il immortel quiquonque le possète ? le coupa Hermione
-Oui.
-La Pierre te la Ricolate (pas ricola, attention !) !
-Au fait, demanda Ron, je me suis toujours demandé pourquoi la Pierre de la Rigolade rendait immortel...
-Parce qu'elle fait rire et tonne la choie te fifre ! Lochique, oder ?
-Si tu le dis... Bon, retournons au château pendant que Dirgah n'est pas là. Viens, Harry !
-Non !
-Et en quel honneur ?!
-Je suis pas là !
-Harry... ce n'est pas parce que tu ne nous fois pas que nous ne te foyons pas non plus !

(Vous avez deviné, Harry s'est caché les yeux). Ils allaient s'en aller mais le poney les arrêta :

-Attendez les enfants ! Je sais aussi qui soignait la licorne... C'était... Docteur Voldy !




TIN TIN TIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN !!! (suspens)

-C'est qui Docteur Voldy ? demanda Harry
-C'est celui qui a envoyé tes parents à l'asile de fous.
-J'ai des parents ?
-Ben oui, apruti ! Tout le monde a des parents ! Morts ou fifs, riches ou paufres, que l'on connaît ou pas...
-Ah bon...
-Harry, je peux ne plus dormir dans la même chambre que toi ?
-C'est quoi une chambre ?

Ronald et Hermione se frappèrent une énième fois le front (ils commençaient à avoir un trou en forme de main sur la tête).

-Tu sais Harry, si le Docteur est dans les environs, ça veut dire que tu pourras revoir tes parents !
-Non ! Tata et Tonton ne veulent pas que je parle à des inconnus !
-Qui ? Le docteur ?
-Non, mes parents !
-Harry, tu on t'as déchà tit que tu étais un itiot ?
-Bon, sans blagues... Harry, si tu n'as rien à faire, va chercher un livre à la bibliothèque sur Nicolas Caramel.

Le binoclard hocha la tête. Mais, naturellement, il n'avait rien comprit. Il alla à la médiathèque de l'école mais ne chercha pas le livre. À la place, il lut une BD. Il échappa au regard de Rencard (Oua ! Ca rime !) grâce à sa cape d'imbécilité, qui faisait que tous les gens plus intelligents que lui l'ignoraient. Harry en profita pour, filer. Comme il faisait noir, il arriva encore dans un endroit inconnu. Dans cette pièce, il y avait un miroir étrange sur lequel il était écrit : "Le Miroir du Rictus". Le cancre s'en approcha pour s'admirer mais il ne vit pas son reflet. Il vit...


... ses parents !

-Ron ! Ron ! viens voir ! Il y a un truc bidule chose machin chouette que je veux te montrer !
-Kwa, Keskia ?
-Viens, on verra après !

Harry traîna son camarade par le bras juqu'à la chambre du miroir. Ronald arrêta alors de sucer son pouce et hurla en contemplant la glace :

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH !!!
-J'entend pas, t'as dit quoi ?
-Mince ! Je l'ai rendu sourd...
-Je t'ai entendu ! Pourquoi t'as crié ?
-J'ai vu une grosse araignée !
-Moi j'ai vu mes parents.
-Je pense que ce miroir nous montre ce dont on a le plus horreur...
-Comme mes parents ?

Le rouquin se tapa encore une fois. Puis, il entendit un bruit de pas; quelqu'un se dirigeait vers eux ! Mais il ne paniqua pas :

-Ah ! je reconnais le pas de Hermione, elle vient voir si tu as réussi ta mission. Passe le livre.
-Euh...
-Tu ne l'as pas ?

L'idiot fint non de la tête. Rosier appella son amie pour qu'ils discutent de la situation.

-Pon ! Ce n'est pas si grafe ! On sait l'essentiel sur Nicolas Caramel.
-Où ça un caramel ? J'ai faim !

L'Allemande et son copain avaient très mal à la tête mais ils déclarèrent que, cette même nuit, ils iraient... sous la trappe !!!

En quelques minutes, ils furent devant la porte de la salle où logeait l'insecte machiavélique. Heureusement pour nos deux amis (et oui, Harry n'est pas notre ami), la coccinelle dormait. Ils sautèrent dans le trou juste à temps, car le monstre s'éveilla. Les enfants attérirent sur une plante noueuse que Hermione identifia facilement :

-C'est un Filet de Câples (Câbles). C'est une plante qui a les même réactions qu'il fil éléctrique mal protéché.

Harry eût alors la raaaaadieuse idée d'utiliser le sortilège d'Aquamenti et lui et ses amis furent éléctrocutés. Heureusement, ils sont les personnages principaux de cette fic' et ne peuvent donc pas mourir !
Cet accident permit au trio de passer cette épreuve dont l'Allemande aurait put les sortit d'une manière un peu moins brutale. Le binoclard fit remarquer :

-Au moins, si vous étiez morts, vous seriez rôtis...

Les apprentis sorciers marchèrent dans un long couloir et pénétrèrent dans une pièce où des multitudes de clefs volaient. Il y avait également un aspirateur qui attendait d'être chevauché. Ronald ordonna :

-Harry, tu es doué pour voler sur un balai... attrappe la bonne clef !
-Tu veux dire "le bon hot-dog" ?
-Nein ! harry, ce sont tes clefs, pas tes hots-togs ! Tu fois mal !

Cette fois, le cancre ne la contraria pas, de peur de se prendre une mandale. Il enfourcha l'aspirateur et s'envola. Il attrappa la clef et la lança à ses amis. Ils ouvrirent la porte qui menait à la salle suivante avant de la claquer brutalement. La plupart des objets ensorcelés passèrent mais Haary se prit la porte en pleine tronche et perdit vingt-six dents (il est pas sensé en avoir que vingt-quatre ? ). Seulement, les dents des magiciens repoussent donc, désolée de vous avoir fait cette fausse joie. Après avoir ouvert à son bouche-trou, Hermione lança :

-Au fait, ch'ai remarqué que la coquecinelle dormait car il y afait un orgue qui chouait à côté t'elle. Quelqu'un a tu l'ensorceler el la percer (bercer...).
-Donc, quelqu'un est passé avant nous, surement pour voler la Pierre. déduit Ron
-Surement Roquette. Il n'est chentil qu'afec Harry. Ca cache quelquechosse.
-Oui ! Allons le piéger ! Suis-nous Harry.

Ils passèrent plusieurs salles où il fallait utiliser sa force ou son intellect (que Harry ne possède pas). Finalement, ils arrivèrent dans une pièce qui contenait un chéquier géant.