Toujours le même rayon de soleil qui filtre dans cette pouponnière . La même a odeur , la même ambiance et les même jeux . Figurez vous que j'en ai déjà marre de rester dans cette pouponnière , mes frères et soeurs jouent toujours aux même jeux , ma mêre les observent attentivement et moi je suis dans mon coin et je m'ennuie . La tête posé sur le sol , les yeux mi - clos , je pense ou plutôt , je rêve de sortir de cette pouponnière étouffante . Je roule sur le sol et je me dirige vers l'entrée , à peine ai - je pu passer mon museau à l'exterieur , Nuit d'Etoile , ma mère m'apelle . Je me dirige d'un pas las vers elle puis elle m'explique que je ne dois pas sortir . Je soupire la regarde d'un air mécontent et hoche la tête en signe de soumission ... qui n'en ai pas un . Oui , sachez que ma mère je l'apelle Nuit d'Etoile et non maman , je trouve sa honteu de s'afficher devant les autres à regarder son geniteur tendrement et toujours lui repondre gentillement ; non sa franchement c'est pas mon truc .
L'heure tourne , il est environ midi , il ne reste que ma mère dans la pouponnière , les autres son parties prendre l'air . Celle qui ma mis au monde ,tourne la tête un instant , ce qui me laisse le temps de me faufiler hors de la pouponnière . L'air est frais , le soleil me caresse le pelage , je me sens si bien . Mais je n'ai pas le temps de me prelasser au soleil , je rampe jusqu'a des buissons près de la sortie , deux colosses discutent . Je me coule discretemment hors de la sortie , je fonce pendant quelques minutes , puis je m'arrete . Enfin je suis hors du camps , je ne connais pas encore les frontières , oh et puis ce n'est pas grave les guerriers ne tueront pas un chaton à l'apparence d'un ange comme moi .
Je marche , encore et toujours . Je me retrouve sur des plateux , lesquels je n'en ai aucune idées . Mais je sens une odeur inconnue , qui m'inquiète ...

- Tu crois peut-être une seconde que je vais gober ça?!

Abruti, mais quel abruti ce mâle, qu'il aille se pendre non mais ! Je le toisa du regard avanca dans la direction ou je voulais aller quelques minutes plus tôt sans faire attention à lui. Devinan qu'il ne me laisserais pas partir si facilement je le contourna les muscles tendus au cas ou il me sauterais à la gorge. Je me frailla un chemin dans les broussailles puis je lui dit sans me retourner.

- Tu n'as pas besoin de me croire, je me fiche complètement que ce soit ton territoire on non, j'ai dit que je visite alors je visiterais.