(sorry, j'ai un peu la flemme, donc j'ai recopié sur un des mes rp ^^")

La peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine mène à la souffrance.

[pv Abricot]

• Frache frache... Crashe Crashe... Un bruit? Les griffes que faisait la souris en creusant le sol. Stupide créature, elle ne mérite même pas de vivre, alors qu'elle meure. Cepandant, ce n'était pas ma première façon de pensée. Non, la mienne reste la suivante: la mort mène au chemin de la redemption, et cet animal avait empiété mon territoire, il fallait qu'elle paye et pour cela, qu'elle meure. Evidemment, cette règle, je ne l'applique surement pas à moi-même. Je m'applatis sur le sol, fixant d'un air assasin la bestiole. Mes yeux couleur sang ne se détachait pas de ma victime. Je mit ma patte devant, puis l'autre, et l'autre. J'avança sans un bruit parmis les fougères. Dissimulant mon odeur de félin, et surtout celui du sang, je me roula sans un bruit dans la boue. Puis je m'écrasa encore plus. Quand je fus à une distance raisonnable, je fléchis mes pattes, remua la queue et sauta en poussant un hurlement qui fit peur au oiseau. Ils s'envolèrent aussitôt, ce qui risquait peut-être d'attiré l'attention d'un chat quelqu'onque. Mais qu'importe, j'avais réussi mon coup. La souris tentait en vain de s'en aller, et je profita de mon heure de gloire.

• Elle couinait fort cette souris, surement pour appeler à l'aide. Stupide créature, vraiment. Comme si ses congénaires avaient assez de cran pour venir se faire tué a leur tour, juste pour elle. Ils étaient en train de se planquer et d'assister à la scène. Un sourire de mauvais augure se dessina sur mes lèvres, montrant mes croc pointu, luisant... signe que la mort arrivait. Je les lui montra et croqua dans son cou. Elle poussa un ultime couinement, le dernier de misérable vie, tendit que les os de son cou se mirent à craquer et le sang ruisseler. Je releva la tête, le museau rouge auquel un liquide de couleur semblable dégoulinait. Je me lécha le museau et frémit de plaisir. Je termina mon repas en y prenant un malin plaisir et m'assit quand je fut repu. Pas mauvais cette souris. Je fit une toilette et posa mon regard sur le collier rouge à pointe autour de mon cou, et me mit à le trifouiller. Soupir. J'enterra le reste de mon repas en creusant dans le sol et partit vers le chemin du tonnerre. Je traversa les terres libres en passant à côtés des frontières des 4 clans. Tsss, des crétins. A quoi pouvait bien leur servir le fait d'être dans des clans?

• j'avais vu plusieur fois des chat passé par là, des couples souvent. Pff, des niaiseux ouais. Je prit un chemin qui m'emmena tout droit vers l'endroit que je cherchais. Dans les buissons, j'avais vu plusieurs fois des chats y perdre la vie en se faisant tué par les monstre de métal et de fer qui ronronne d'une drôle de façon. J'avança vers ce qu'on appelle une route. Je ne vois pas à quoi ça servait de nommer ce chemin de pierre. Une perte de temps oui. Je m'assit devant le sentier des roches noirs et entendit un monstre qui arrivait. Je pencha la tête devant moi et la vit. Noir, imposante... bruyante surtout. Les bipèdes était des êtres que moi et les autres ne pouvait comprendre. Le monstre gronda et passa en un éclair. Je put enfin me lever et regarder plus loin, de l'autre côtés où se tenait leur campement de pierre et de verre, ils appellaient ça une ville je crois. Mes oreilles se rabattirent piteusement sur ma tête. Je faisait partie des rares chats qui y étaient aller et en était revenu. Des souvenir nostalgique et triste me revinrent en mémoire. Le collier, l'humain, le monstre... ma famille... Du sang et l'odeur de la mort. Je secoua la tête. Il était préférable d'oublier ces évenement. Mes oreilles se dressèrent subitement. Je n'était pas seul.

p'tit up

- Sois un peu plus poli avec les dames, crétin ! Et je suis Abricot, une solitaire, tout comme toi. Comment t'appelles-tu ?

J'enfouis ma tête dans mes pattes et éclata d'un rire moqueur; Abricot? Elle s'était pas foulé pour le nom. Désolée, ça avait été plus fort que moi, mais son nom était vraiment drôle ! Je releva la tête et repouffa de rire. Je devais être énervant, vu la tronche qu'elle me tirait. Je continua de rire jusqu'à presque m'étouffer, puis m'arrêta pour reprendre mon souffle et poussa un long soupir, un sourire moqueur au lèvre. Haaaa, c'était drôle. Ca avait fait longtemps que j'avais pas autant rit. Je releva mes yeux sanguins vers elle, le même sourire mauvais au lèvre et cracha:

-tu parles, t'es même pas une dame ! Juste une femelle d'un peu plus de mon âge, mais une dame, faut pas déconner quand même !

(à finir)