---A.stre--- Guerrier ▲ À coups de crocs ! Messages : 230 Age : 30
Feuille du félin Famille: Mentor/apprenti : Age : 21 lunes | Sujet: 1,2 et 3, je passe par là ! Dim 15 Aoû - 12:43 | |
| 1,2 et 3, je passe par là ! [Libre] Une faible brise se fit sentir, faisant bruire les buissons et les feuilles des arbres, géants créés par dame nature elle-même. Les nuages se dispersérent au son du vent, s'éparpillant dans le ciel azuré. Certains passent passiblement devant le soleil qui luit de ses rayons d'or, et réchauffe la terre et ses êtres. D'autres s'en vont au loin vers l'horizon, ne revenant pas. Leurs textures cotonneuses immaculées semblant rebondir sur elles-même au contact doux de l'air. L'herbe grasse se plie sous l'effet du vent. Lentement des coussinets se posent sans bruit sur le tapis verdâtre que forment ses petites feuilles accrochées à la terre, leur mère. Le félin à qui appartiennent ses coussinets avancent doucement à travers les fourrés, le cou et la tête bien droite. Selon sa position, il ne semble pas être en pleine chasse. Plutot en plein balade journalière. Une patte devant l'autre, il marche le regard balayant les alentours, sans crainte. Son pelage tricolore ne passe pas inapercue parmis la verdure ambiante de l'endroit. Une chose blanche, rousse et noire qui avance dans une forêt, c'est comme une tâche rouge sur un linge blanc. Cela ne passe pas du tout. Le matou, car oui il s'agit d'un chat adulte male, s'arrête soudain. Rien pourtant ne l'a interpellé. Il s'assied et se gratte le museau avec sa patte. *Saleté de puce* pense-t-il au même moment. La forêt peut être reposante, mais les puces et les tiques qui y rodent ne vous laissent pas de tout repos. Il se relève alors et continue sa petite balade. Il fini par arriver prés d'un endroit bizarre et à l'odeur nauséabonde. Quel folie pour que les ancêtres aient laissés créer un endroit pareil...Une chose faisant 20 fois la taille du matou passa sur un sentier noir de jais. Une odeur s'éleva donnant envie de gerber. Le monstre était passé tellement vite que le matou n'avait même pas pu vraiment le voir. L'asphalte d'encre semblait encore plus dangereuse vu les choses qui y passent. Le matou fit demi tour, la tête tounant à cause de l'odeur trop forte et trop dur à supporter. Il s'arrêta dans une clairière assez loin de l'endroit pour que l'odeur y soit atténuer. Qu'allait-il bien faire maintenant. Il n'en avait aucune idée. |
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