Comment cela est-t-il arrivé? Il y a quelques lunes encore, Lion Blanc et Pluie de Comète se détestaient. Pourtant, elle se retrouvait maintenant pleine de lui. Non, ce n'était pas vraiment un accident. Lion Blanc et Pluie de Comète avaient bien changé de relation depuis. Et puis, pouf dans un buisson et voila. Les naissances seront-elles des bêtises ou une surprise?

Pluie de Comète poussa un cris de douleur. La mise à bas avait commencé. Par le clan des étoiles, que c'est douloureux! Elle soupira une fois que le premier petit fut sortit. Une petite femelle rousse, Petite Chimère. Elle serra les dents, d'autres allaient arriver. Le deuxième sortit plus facilement, un mâle sous le nom de Petit Lotus. Pour les deux derniers en revanche, ce fut l'enfer, elle perdait de plus en plus de sang et de plus en plus de force. Elle cru qu'elle n'allait pas tenir et mourir avant qu'ils ne sortent. Après un cris de mort, les deux derniers sortis, Petite Buse et Petit Héron. Elle fut fier, ses chatons, enfin nés, elle les aimaient déjà plus que tout au monde. Elle leur passa tendrement un coup de langue avant de reposer sa tête au sol. L'émorragie ne s'arrêtait pas, sa respiration devenait sifflante. Pluie de Comète regarda le ciel sachant que c'est là ou elle irait. Etais-ce donc comme ça qu'elle était destinée à mourir? Pas de chance, elle soupira. Quelle injustice! Elle allait quitté ce monde et tout les êtres qui lui étaient chers. Nuage de Nectarine, Lion Blanc et elle ne serait pas vivante pour voir ses petits grandir.

"Adieux Lion Blanc, prend soin de nos petits."

Ses dernières paroles étaient à peines audibles. Elle regarda à nouveau le ciel. Ses parents étaient-ils là-haut? Aussi, si elle n'était pas née d'une relation inceste, elle aurait peut être effectuée la mise-à bas sans problèmes... Elle vit un chemin de lumière ou elle avança et vit des guerriers du clan des étoiles dont ses parents. Son corps se pris de convulsions, sa respiration s'accélera avant de s'arrêter à jamais, elle avait rendue son dernier soupir, Pluie de Comète est morte.

Il n'y avait rien, que du noir. Pourtant, elle n'avait pas peur du noir, ce noir là était un noir rassurant. Ou était-elle? Qui pourrait le dire? Tout d'un coup, il n'y avait plus de noir. Le monde qu'elle connaissait était en train de changer à jamais. Il y eu quelque chose de nouveau, la lumière. Soudain, elle atterie sur quelque chose de solide et fit un couinement de surprise, le sol. Instinctivement, la petite chatte se mis à respirer. Ici, il fallait respirer l'air, c'est vital. Il y eu d'autres présences non loin d'elle, pour commencer trois petites boules de poils comme elle, ses frères et soeurs. Ce n'était pas tout, il y avait d'autres félins mais en beaucoup plus grands, son père et sa mère. Désormait elle s'appelait Petite Buse et elle aurait une vie au sein du clan de la rivière. Il y eu la présence d'autre chose du côté de sa mère qui ne bougeait plus, le sang. Sur le moment, Petite Buse fut marquée par quelque chose que tout être vivant était marqué dès la naissance. Quelque chose dont personne ne pourrait se débarrasser, la peur. Petite Buse émit un autre couinement inquiet mais s'interrompit en sentant quelque chose. Instinctivement, elle se dirigea vers une mamelle et but un doux liquide venant de sa mère, le lait. Sa vie avait définitivement débutée.

Lion Blanc avait entendu ce cri, aiguë et puissant. mais il ne bouge pas, assit devant la pouponnière. Il regardait, impassible, l'antre de ronce avec son regard froid. Quand il se leva, ce fut quand d'autres cris perçants traversèrent le camp. il entra dans la tanière et vit que sa compagne était couchée avec deux premiers petits. Et un troisième arriva quand il se coucha près de la femelle blanche. Le félin blanc regardait ses trois enfants, froid comme de la glace. Même pas un sourire ne vint illuminer son visage. Et un quatrième arriva rapidement. Le mâle sentait au milieu du sang une autre odeur qui le fit frissonner. L'odeur de la mort. Et Pluie de Comète fit tomber sa tête en arrière. Était-elle morte ? Oui, ça en avait tout l'air. Lion Blanc s'approcha et renifla chacun de ses petits. Eux, par contre, ils étaient en vie. Mais le matou n'avait pas l'intention de s'occuper d'eux, c'était le rôle d'une femelle. Et ces quatre morveux n'allaient pas entraver ses plans : son ambition le rendait fébrile. Il n'y avait que son Clan qui comptait, pas une bande de baveux qui ne serviraient que de jouet pendant les guerres. Le mâle se leva en lançant un regard méprisant à la dépouille de Pluie de Comète et sortit de la pouponnière sans un mot. il était déçu. Il avait des fils d'une guerrière faible. de sangs souillés. ils ne méritaient pas son attention.

[ J't'avais dit que ce serait moche xD Lion ets un salaud mais il va mourir alors bon (: ]

Cette sensation de confort pendant plus de deux lunes avait suffit à maintenir quatre petits au chaud en attendant de naître, leur mère Pluie de Comètes était pleine de Lion Blanc mais le mâle sans coeur est manipulateur et ne possède aucun sentiments. C'est là qu'entre en scène Petit Lotus, un des chatons bercé dans ce doux cocon, il voit la vie merveilleuse et toute rose...jusqu'à sa sortie; il fut éjecté hors de sa mère avec difficulté et il baignait dans une marre de sang, ses pattes blanches furent maculées du liquide rouge poisseux, son frère à ses côtés, ne distinguant pas encore ses autres frères et soeurs, il s'approcha pour téter mais peu de lait sortit; à cet instant il comprit, il comprit que sa vie allait être sombre, qu'il allait être orphelin à peine né et qu'il ne devrait compter que sur lui même. Devant lui se dressait un portrait de famille assez macabre, sa mère était morte vidée de tout son sang, et elle gisait à ses côtés, son père ne voulait pas d'eux et n'aimait pas vraiment sa mère puisqu'il était parti sans venir lécher ses petits ou sa compagne, Petit Lotus l'avait senti et il avait choisi ce nom lui même comme si un guerrier étoile lui avait soufflé à l'oreille comment il devait s’appeler. Le petit cria alors pour alerter les autres reines, pour que lui et le reste de sa famille puissent avoir à boire et qu'eux non plus ne meurent pas comme leur mère laissait là sans aucune dignité.