Un ami ?[pv Vol du Condor]

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Écaille d'Hippocampe était un peu désemparé ces temps-ci, sa fille Petite Tortue se retrouvait nourrie par une autre reine, sa mère étant morte en couche il y a peu, son frère et sa sœur allaient grandir sans vrais parents, c'est lui qui devra remplir ce rôle, sans le vouloir il se retrouvait avec trois petits à charge. Lui qui voulait refaire sa vie, quelle femelle voudrait d'un mâle ayant trois petits à trente lunes et en plus deux qui sont ses frères et soeurs ? Comment lui expliquer que toutes les femelles qu'il a connu jusqu'à présent étaient mortes en couche ? Après cela elle s’enfuirait en prenant ses pattes à son cou...
Pour se changer les idées, il quitta le clan après s'être assuré que Nuage de Loutre et Nuage d'Hippopotame étaient bien dans leur antre et que Petite Tortue était bien sous la surveillance de Fleur de Vanille ou Plume d'Obsidienne à la pouponnière. Il marchait en direction de la forêt et sans s'en rendre compte il avait atteint la lisière, il avait marché pendant plus d'une heure; il sentit une odeur familière, et en la suivant il tomba sur Vol du condor, le fils d'Etoile du crépuscule; il chassait apparemment. Écaille d'Hippocampe attendit que le guerrier ai attrapé sa proie pour venir le "déranger", il le salua

"Bonjour Vol du Condor, alors la chasse est bonne aujourd'hui ?"

A vrai dire il ne savait pas de quoi parler, il n'avait adressé la parole que deux ou trois fois au jeune guerrier, ses origines dérangeant certains des guerriers de la rivière, Hippocampe préférait lui parler en dehors du camp, il semblait être quelqu'un de tout à fait appréciable mais il ne devait jamais savoir ce qu’écaille d'Hippocampe n'était pas d'accord avec le régime en place et qu'il complotait parfois contre le père du guerrier.

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Sans amis. La vie ne vaut rien ~

L'air était doux. Le vent dansait parmi les mouvements.C'était plutôt agréable.La pluie. La si bonne pluie.Elle était partie du ciel.Laissant place au vent. Au soleil. A la claireté.Une sorte de souffrance. De peine. Il était perturbé.Vol du Condor était seul. Il ne parlait pas. A personne. Même pas à sa famille. A ses "amis". Réservé. Timide.Ne le jugez pas. Vous n'en vaudriez pas la peine si vous le faisiez. Un moment de détente. Il n'en avait pas eu depuis tellement de temps. Ah. Que ça faisait du bien. De s'éloigner. De se sentir seul. Dans ce monde. Dans cette vie. Sans les doutes. Sans les problèmes.Un mouvement. S'etirer. Des choses basiques. Mais qui changeaient d'aspect au corps. Celui qui a toujours quelque chose de travers. Mais qui nous permet de vivre.Un regard ailleurs. Un regard perdu.La chasse. Ah. Ca faisait tellement longtemps. Il redevenait apprenti. Celui qui veut montrer sa force. Qui veut montrer ses preuves.Qui fait tout. Mais en faites qui ne fait rien. Farfelu comme idée non ?Une envie soudaine lui vint.Changer de ryhme de vie. Etre éloigné du camp. Loin de son père. Et des autres.Il aimait. Etre seul. Qu'on se demande où il peut bien être.La peur des autres. Excitant comme idée ? Cruel. Mais amusante. A vrai dire. Personne ne l'aimait. On lui parlait. Sans plus. Aucune envie de se revoir. Quand on ne connait pas Vol du Condor. On se fait des films sur lui. Mechant. Hyprocrite. Et le reste. Vous vous trompez. Il faut être amical. Comprendre son monde. Son esprit. Sa démarche. C'est tout simple. Mais personne. J'ai bien dit personne. Ne suit sa démarche.Les vies dures. Les regards durs. Vis à vis de nous-même. Si seulement un chat. Un chat. Ressentait ces peines.Il entendit un bruit. Une odeur familière. Une odeur reconnaissable. Huuuummm.Ne serait-ce pas Ecaille d'Hippocampe ? Il ne lui avait peu parlé. Juste quelques regards. Quelques mots. Au moins lui parlait. Comme un chat normal. Pas comme les autres.

Bonjour Ecaille d'Hippocampe. Ca me fait plaisir de te parler. Cela faisait assez longtemps. La chasse. Oui assez bien. Assez difficile au début. Mais. Il me faut retrouver mon rythme d'autrefois. Et toi. Tout va pour le mieux ?

Parler. Connaitre. Ce sont des choses basiques de la vie. Mais. C'est agréable.Lui. Etait différent. Une amitié avec ce chat? Pour être honnête. L'amitié. Ce n'est pas tellement quelque chose de fréquent pour lui. Il n'a jamais eu de véritable amis. Le moment ou jamais ? Dans la vie. A des moments. Il faut avancer. Vaincre sa timidité. Montrer sa force. Au lieu de montrer sa faiblesse. Peu bavard. Il ne savait que dire. Mais. Il fallait le faire. Il pourrait perdre une belle amitié. Et les remords ne sont pas synonymes de bonne vie. Non. Le contraire.Allez. Faut se bouger. Vol du Condor n'est plus un tout petit chaton.Le ton assez gêné et la tête basse il arriva à annoncer.

Alors. Des nouvelles ? Vois-tu. J'aime ta personnalité. Et entre nous et possible une amitié.Mais il me faut tout de même ton avis. Il ne faut pas que je me mette des idées en tête ~

Enfin. Il avait à vaincre sa peur. Sois c'est oui. Sois c'est non. Mais au moins il l'a fait. Et ce n'est pas un lâche. Non. Loin de là.

[Voilà.J'espère que ça ne te dérange pas de faire des RP avec moi. Vu mon style de texte. Aussi. Tu vois les paroles que j'ai dit? Car des fois ça ne marche pas ~]

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Hum pourquoi je vois pas tes paroles :s je les ai vues hier sur mon téléphone et là plus rien :s

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Bah moi quand je touche sur le bouton éditer les paroles s'affichent mais quand je suis sur le sujet normalement ça s'affiche pas X_x

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tu as du mettre une option spéciale tu veux pas les mettre juste en gras ou un truc du genre parce que sans les paroles je peux pas tellement te répondre ^^

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Ah. J'ai enfin trouvé le problème.
C'est mes " << & >>" qui enlevait le texte.
Bref. Stop flood ~

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Écaille d'Hippocampe jaugea le jeune guerrier devant lui, certes il avait une drôle de façon de parler mais il avait l'air assez sympa, Écaille d'Hippocampe avait une différence d'âge notoire avec Vol du condor non pas forcément par son âge mais par sa maturité acquise: en effet il avait du s'occuper de son frère et de sa soeur et les élever, faire face à la mort de ses parents puis de sa compagne dans la mise à bas de sa fille. Il avait donc un chaton à élever seul, il avait des responsabilités parentales mais ça ne l'empêchait pas d'avoir des amis qui n'avaient pas d'enfants.

"Bien sûr qu'on peut être amis, tu peux le dire aussi simplement, et je suis sûr que tu retrouveras ta vigueur et ton rythme de chasse."

Hippocampe en profita justement pour repérer une musaraigne qui manger près d'un buisson, il se mit en position de chasse, bien qu'il ne soit que garde frontière il avait bien entendu des notions de chassa, il banda ses muscles et bondit sur sa proie en l'achevant d'un seul coup de dent. Il déposa sa proie près d'une souche et l'enterra, il la donnera à sa fille en rentrant.

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C'est fou que parler fait connaitre tant de choses.

Discuter. Connaitre les autres. Une sensation encore inconnue pour Vol du Condor. Ne montrant que le mauvais côté de sa personnalité. Peu aimait lui parler. Un signe. Un adieu. Innintéressant. Pensez-le. Il s'en fiche. Il n'écoute personne. Pas même sa famille. Il ne croit qu'en lui même. Une sorte de sage. Mais en faites qui n'est pas sage en son fond intérieur.Mystérieux comme le vent. Il apparait. Et disparrait vers un autre endroit. Non. Ce n'est pas le vent incarné en chat.Avec sa façon courtoise de parler. Selon vous. Il est sérieux. Ne pense qu'à son clan. Ne sourit jamais.Est réservé. Vous vous trompez sur lui. Une fois de plus. Mais pas une dernière fois.Pas même son père. Sa mère. Le comprenait. Ecaille d'Hippocampe. Lui. Seul. Ne le jugeait pas. Il avait passé des moments difficiles. Très difficiles même. La mort. La mort. Un rythme qui se faufile si vite dans sa vie. Vol du Condor. N'avait pas connu ça. Mais les reproches. Les regards durs. Ca. Il connaissait. Il ne le connait pas. Mais pour lui. Il était proche. Une sorte de confident. Une sorte d'espoir de vivre. Sans lui. Il ne serait rien. Non. Il n'est pas amoureux de lui. Mais. Son meilleur. Son seul ami était lui. Et cela. En espérant. Pour longtemps. Ou même pour toujours.
Enfin quelqu'un de bien. Ma façon de parler ? Tu vas devoir t"y habituer. Je parle comme ça au quoitidien. Désolé si ça te fruste.

Au fil du temps. Les paroles étaient plus faciles à se faire dire. Oui. Il ne ressentait plus la peur. Enfin. Elle ne se faisait plus ressentir. Pour le moment. Le vent était doux. Léger. Un bon moment. Jamais de sa vie il en avait connu de tel.Une envie soudaine lui vint. Ah. Une chose. Qu'il n'avait pas fait depuis tant de temps. Chasser. Se sentir loin. Deguster. Profiter. Peu de choses. Qui rendent heureux n'importe quel chat de cette terre.Certes. Il était garde frontière. Mais des fois. Faire tout le temps la même chose lasse. Changer donne du courage. Une position de chasse. Un élan. La proie est dans vos pattes. L'apporter du clan serait le mieux. Mais non. On ne l'aime pas. Alors il ne ferait pas d'effort. Il la déposa aux pieds d'Ecaille d'Hippocampe les lèvres ayant le sourire. Enfin. Pour la première fois. Il faisait un sourire.Comme une poussière. Il pourrait s'envoler à n'importe quel moment. Et serait déjà partit.Et oui il n'était pas aussi egoïste que vous ne le pensez. Mais. Les regards sont parfois trompeurs non ?

Tiens. Un campagnol. Je n'en ai nul besoin. Toi oui. Prends des forces.

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"Merci, mais le clan en a plus besoin que moi, on le rapportera ; Comment sont restés tes rapports avec ton père ?"

Sujet peut être tabou mais tout ce qu'Hippocampe connaissait du jeune guerrier c'était son nom, son âge et sa famille, et... sa drôle de façon de parler. Le guerrier avait évoqué sa famille sans savoir si son ami était d'accord mais il fallait bien qu'il le connaisse. Il s'engageait sur une pente dangereuse; le vent soufflait un peu, les feuilles virevoltaient autour d'eux, le léger souffle passait dans son pelage d'argile, et plusieurs bruits de proies attirés son attention, il se reporta sur Vol du Condor et attendit sa réponse.

[court désolé pas d'inspi]

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Dans la vie. Mieux vaut ne pas parler de certains sujets. Si vous ne voulez pas que le froid règne ~

Le vent commençait à se lever. Le froid arrivait. De même que les frissons. Il fallait bouger. Marcher. Du moins ne pas rester assis toute la journée. On prend sur soie. Et on avance.Une proie refusée. Un repas de gagné. Une sorte de diction basique qu'aimait dire Vol du Condor. Eh oui. Même les chats les plus étranges ont des attitudes de chatons. Chaque personne a un côté gamin de toute façon. Même si certaines ne sont pas aptes à assumer qu'ils en ont une partie. Le clan. Le clan. Qu'il aille se faire voir si nous restons polis.Pourquoi se priver pour des personnes qui ne valent même pas la peine de regarder ?Ils veulent faire les plus dur ? Eh bien on va voir qui sait qui va gagner. Provocateur de première. Vol du condor ne se laisse pas faire. Le moindre défaut il le remarque. Et ne l'oublie pas dans sa mémoire. Ah ça non. Il n'a pas encore atteint l'âge où tout était dans le passé & que le présent n'existait plus. Malheureusement pour certains.Ne pensons plus au clan ce serait une perte de temps. Dans la vie on doit interrompre les mauvaises choses pour ne faire ou retenir que les bonnes.Il connaissait à peine le garde frontière mais il avait réussi à comprendre une chose sur lui. Il aime connaitre à qui y parle. Il ne se contente pas du minimum. Ah non il souhaite le meilleur. C'était une sorte de défaut que Vol du condor prenait pour une qualité vu qu'il faisait la même chose. En une autre façon. Mais si tout le monde faisait pareil on ne se ritrouverait plus nul part.Ah son père. Celui qui lui avait donné la vie. Mais qu'il ne pouvait que détester. C'était un traitre. Et arrêtons les mots. On irait trop loin qu'on arriverait même pas à décrire ce qu'il est vraiment.Il n'aimait pas en parler et ça Ecaille d'Hippocampe allait le savoir. Pour le montrer il suffit de se montrer sec dans les paroles que l'on prononce.Bien entendu il va le faire.
"Ecoute Ecaille d'Hippocampe. Mon père. Je n'ai pas envie d'en parler.Ca ne serverait à rien. Une perte de temps. Je ne suis pas allé ici pour parler de mon père. Ah ça non. Alors changeons de sujet."

Même avec les personne qu'il apprécie il se montre sec. Son père. Le sujet qu'il ne fallait surtout pas parler. Et encore cette fois il n'est pas parti en crachant sur son ami. Non. Il ne se permetterait pas. Il le perdrait. Comme il a perdu certaines choses qu'il 'aimait. A lui seul. Il fallait s'accrocher.Quelqu'en soit le prix à payer.Bon.Après s'être montrer sec il ne savait rien. Il n'arrangeait pas les choses. Les regards des deux chats ne bougèrent pas. Le silence régnait. Agir en premier serait la solution face aux problèmes. Pour la première fois de sa vie il allait faire un effort. Oh ciel. Retenez cela. Les mauvaises choses comme les bonnes choses. Chaque être de cette vie doit être récompensé alors faites de même.Le chat s'étira à s'en décrocher la machoire. Que le sang coulait. Il s'en fichait. Les tâches. Les douleurs. Au fond d'elles elles apportent du bien. Et non du mal. Réussisant à trouver parole,il s'adressa au chat qui était immobile. Comme si la mort allait arriver.
"Ecoute. Je sais que j'ai été assez sec avec toi tout à l'heure. Mais je ne souhaite pas mal. Je suis comme ça. C'est pas de ma faute. Mais celle de la vie. Elle est censée apporter du bien mais elle n'apporte que du mal. Si tu n'es pas d'accord avec mes propos. Dis le. Je ne le prendrais pas mal. J'assumerai. Comme un adulte doit le faire.Bref. Ne perdons pas de temps sur ce sujet inutile. Que veux-tu faire ?

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